Cookie Consent by Free Privacy Policy Generator

The Doug

Session Intime avec la Fnac
Samedi 24 Janvier Foyer F
Le même soir Foyer F
20h00 & 22h00
The Doug

CRÉATION

 

Il y a chez The Doug quelque chose de brut. Une manière d’arriver tel quel, sans fard, avec cette gueule cabossée et cette présence qui semble sortie d’un film de Ken Loach. Son univers clermontois, il le revendique entièrement : les rues, les squats, les bouts de vie qui marquent, les familles abîmées, les silences qui restent. Il parle de lui parce que c’est ce qu’il connaît le mieux, et il en fait des chansons où la fragilité n’empêche pas la force. On y entend ses influences givrées comme System of a Down, The Strokes ou encore Bashung quelque part dans le paysage, mais distillées avec sobriété, comme si tout cela s’était fondu dans son propre grain. Dès ses débuts, il a mêlé rap et chanson, sans jamais choisir un camp. « Rapper un peu, chanter surtout », disait-il.

Pour l’Hyper Weekend Festival, il tente autre chose. Une création en piano-voix. Un pas de côté, presque contre-nature pour lui qui compose à la guitare. C’est surprenant, presque déroutant. Comme un nouveau départ. Refaire naître ses chansons autrement, en les dépouillant, en les laissant respirer autrement. Revenir à l’os pour mieux avancer.

Il jouera au Foyer F, dans le cadre des Sessions intimes. Un espace simple, précis, où l’on entend tout. Où la musique ne peut compter que sur elle-même. Là, The Doug déposera une parole brute, une voix qui raconte sans détour. Une session dans le prolongement logique de cette magnifique chanson » Réparer » qui déjà disait beaucoup de cette volonté de se dénuder.

Félix Kalil

 


 

Après un premier album salué par la critique et classé 19e meilleur album de l’année 2024 par Spotify, après une Cigale complète, The Doug est de retour avec « leader price », un single coup de poing qui marque une nouvelle étape avant son Olympia le 13 juin. Avec « Leader Price », The Doug nous plonge dans les souvenirs bruts et sans filtre de l’adolescence, entre errance, insouciance et désillusion.

Avec le soutien de la

À découvrir aussi