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« La belle histoire » : documentaire sur les 25 années du label “Tôt ou Tard”  

Gratuit sur réservation
Samedi 27 Janvier 11H30 Pathé Beaugrenelle
« La belle histoire » : documentaire sur les 25 années du label “Tôt ou Tard”  

« La belle histoire » : documentaire sur les 25 années du label “Tôt ou Tard” (1h45)

En présence de Vincent Delerm, Clou, Vincent Frèrebeau, directeur du label “Tôt ou Tard”
et Didier Varrod, directeur musical des antennes de Radio France, 

Deux journées inoubliables… Nous sortions d’une année et demie de crise sanitaire. Nous respirions à nouveau. Envie d’être ensemble. Envie de se parler, de se toucher, de se regarder démasqués, libérés. Nous avions rendez-vous avec nous-mêmes et avec l’histoire d’une famille qui pour ses 25 ans d’aventures collectives profitait de ce retour à la vie normale pour se remémorer cette vie de vertiges, faites de hauts et de bas justement assez loin de la normalité. Vincent (Frèrebeau), Didier (Varrod) et les autres… Tiens donc, cela ressemble presque à un titre de film. Vincent Frèrebeau, et surtout ses autres, si précieux, qui ont jalonné cette vie professionnelle et intime hors du commun.

Deux journées et deux nuits inoubliables, où nous nous sommes parlés, dos à dos mais aussi et surtout dans le creux de nos oreilles. Deux journées et deux nuits où nous avons ri et pleuré parfois dans le même élan. Deux journées et deux nuits où les caméras de Benoit Toulemonde nous ont frôlé, caressé, et mis en lumière sans jamais nous aveugler. Forcément les souvenirs se sont ramassés à la pelle. Evidemment le présent s’est révélé encore plus intense et le futur qui était à écrire… déjà dans l’esprit et l’énergie de chacun. Comme une sorte de recommencement. 

Pour mieux faire vivre et exprimer l’histoire du label tôt ou tard, Benoit Toulemonde a eu ce désir un peu fou d’investir le ventre (donc la matrice où prend racine les fondations) des bureaux du label. Tôt ou tard, pendant deux jours les artistes y ont créé des live inédits, tous emprunts d’une émotion brute exceptionnelle. A leur façon, ils ont écrit une autre partition de l’histoire de cette maison d’artistes. C’est aussi dans ces sous-sols qu’ils se sont confiés, parfois seuls, parfois en groupe. Sans se concerter, ils ont dessiné avec leurs regards complémentaires la belle histoire qui a illuminé celle de la chanson française de ces 25 dernières années. Ces petites histoires qui finalement forgent cette grande histoire qui nous appartient tous.

 

Hyper Projections Pathé Beaugrenelle


Pour la première fois, l’Hyper Weekend Festival joue le hors les murs et traverse le pont pour initier des séances de cinéma en lien avec sa programmation musicale. Trois hyper séances au cinéma Pathé Beaugrenelle, comme de jolis coups de projecteurs sur les liens organiques qui existent entre musique et image.

Le samedi matin, nous accueillerons le label « Tôt ou Tard » qui vient de fêter ses 25 ans d’existence. Pour l’occasion, cette belle histoire (label vie…) est racontée par son créateur Vincent Frèrebeau et ses artistes. Une histoire de famille qui est aussi une histoire de la chanson francophone sur deux décennies et demie et qui a déjà tissé des liens avec notre festival. En 2022, Noé Preszow faisait partie de la création autour des chansons de Dominique A. Et l’an dernier, Clara Ysé offrait son tout premier concert, six mois avant la sortie de son premier album magistral. Elle viendra d’ailleurs à l’issue de la projection témoigner aux côtés de Vincent Delerm sur cette singulière histoire.

Le samedi soir, le groupe L’Impératrice, qui investit les cuisines du Radio Eat pendant le festival, a accepté une carte blanche autour de sa passion pour le cinéma. Ils inventeront, lors d’une hyper séance de quasi minuit, une rencontre avec leur public autour de leur film culte « Voyage au bout de l’enfer » (Michael Cimino, 1978). C’est l’histoire, entre Amérique et Vietnam, du parcours et du destin tragique d’une bande d’amis soudés, confrontés aux horreurs et aux injustices de la guerre.

Le dimanche matin, le festival initie une séance matinale autour de Françoise Hardy qui nous permettra de découvrir une pépite issue des trésors de l’INA. C’est une façon de mettre en lumière la force des liens qui unit nos entreprises de service public afin de valoriser nos répertoires patrimoniaux autant que matrimoniaux… « Françoise et Udo », documentaire audacieux de 1968 (tiens donc), une sorte de « show fiction » mettant en scène Françoise Hardy et Udo Jürgens, star allemande de la chanson. Une œuvre censurée par l’ORTF et consignée dans les rebuts de la télévision pendant plus de 50 ans à cause d’une scène de lit entre les deux vedettes. L’occasion de fêter en majuscules l’anniversaire de l’icône de la chanson française avant la création exceptionnelle qui sera donnée le soir même à l’Auditorium de Radio France avec Sage et ses invités.

 

 

 



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