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Hyper rencontre LABOMATIC STUDIOS

Gratuit sur réservation
Vendredi 26 Janvier Boutique Librairie
Samedi 27 Janvier Boutique Librairie
Dimanche 28 Janvier Boutique Librairie
Le même soir Boutique Librairie
Le même soir Boutique Librairie
Le même soir Boutique Librairie
Hyper rencontre LABOMATIC STUDIOS

Avec Bénédicte Schmitt et Dominique Blanc-Francard

6 séances hyper exclusives pour retracer l’histoire des mythiques Labomatic Studios et la confection de quelques-uns de ses albums phares. 

 

Lieu : Librairie – Boutique

Vendredi 26 janvier

19h-20h 60 ans d’enregistrement (1/6)

60 ans d’enregistrements dans des caves de la rue Washington. Du Studio 10 créé par l’éditeur Denis Bourgeois en 1964 aux Labomatic Studios, en passant par Casanova et l’Oncle Sam : les Beatles chantant en allemand, Brigitte Bardot sur son Harley-Davidson, Etienne Daho en week end à Rome, les 1000 vies de Stephan Eicher, l’origine de Benjamin Biolay, les rêves des Cassius, Raphaël et sa caravane …

 

Samedi 27 janvier

18h-19h « La bonne attitude » Sinclair (2/6)

La genèse des Labomatic Studios.

 

20h-21h « It’s a teenager dream » Dominique Blanc-Francard (3/6)

Les 15 chansons qui ont données l’envie à Dominique Blanc-Francard de consacrer sa vie à la musique.

Dimanche 28 janvier

16h – 17h   « Tant de belles choses » Françoise Hardy (4/6)

Le premier album de Françoise au Labomatic.

 

18h – 19h « Le fil » Camille (5/6)

6 jours d’enregistrements et de mixages pour un album hors du temps.

 

20h-21h « Arabesque » Jane Birkin (6/6)

Installer un studio dans une loge du théâtre de l’Odéon.

 

DOMINIQUE BLANC-FRANCARD :

Nourri au son des années yéyé, Dominique Blanc-Francard – celui qu’on appellera DBF tel un label de qualité – est d’abord musicien. Sa curiosité insatiable le poussera à chercher plus loin dans la fabrique du son et à passer de l’autre côté de la vitre du studio d’enregistrement. 

Une formidable aventure commence alors depuis le studio Gaffinel puis le château d’Hérouville où il côtoie le Grateful Dead, Pink Floyd, Elton John et David Bowie, puis en tant qu’ingénieur free-lance dans les nombreux studios parisiens : Davout, L’Aquarium, Ferber, Barclay, Pathe Marconi, qui n’ont plus de secret pour lui.

En 1981, Dominique fonde le studio Continental, premier studio équipé en 32 pistes digital, devenu aujourd’hui Motorbass. Il travaille pour des artistes aussi divers que Serge Gainsbourg, Robert Palmer, Jane Birkin, Michel Delpech, Chagrin d’amour, Alain Bashung, les Rita Mitsouko…

En 1984, Continental s’arrête et Dominique redevient freelance. Sa connaissance du mix stéréo et sa passion pour les compresseurs le la console SSL4000E feront de lui l’incontournable mixeur de tubes du Top 50 de la décade. En 1991, il décroche son premier gros succès en tant que réalisateur. l’album « Engelberg » de Stephan Eicher dépassera le million d’exemplaires vendus.

En 1995, il reprend avec ses fils Hubert BoomBass et Mathieu Sinclair l’ancien Studio 10, créé par Denis Bourgeois en 1964, que Mathieu appellera Labomatic, contraction de « Laboratoire Automatique ».
Local atypique de 120m2 installé dans des caves du 8ème arrondissement, comprenant 2 studios et 2 control rooms. En 1998, Bénédicte Schmitt rejoint Dominique et l’aventure des Labomatic Studios commence, des consoles Yamaha 02 R aux Avid S1 en passant par la mythique Euphonix S5 et S5-MC. Toujours en avance, Dominique se lance dans le DIY et le Dolby Atmos.

En grand passionné, il aura accueilli de nombreux artistes, de Françoise Hardy à Gauvain Sers en passant par Camille, Benjamin Biolay, Raphaël… Aujourd’hui, Dominique partage son temps entre réalisations, prises de son, mixage et mastering. En 2023, il a travaillé sur les albums de Charlelie Couture, Dick Annegarn, Alban Claudin, Terez Montcalm, Frederik Steenbrink Big Band…

En quête permanente d’innovation, il termine l’installation de la Maison du Son à Trouville-sur-Mer où les codes sont inversés : les 100 m2 sont répartis sur 3 niveaux, la Control Room A est au dernier étage, face à la mer et en Dolby Atmos, la control Room B est au 1er étage, son traitement acoustique permet également d’y faire des prises, et le rez-de-chaussée donne sur une terrasse verdoyante. Un piano et de nombreux instruments rendent l‘endroit créatif à souhait. La plage est à peine à 8 minutes à pieds, bien plus près que les Champs-Élysées.



BÉNÉDICTE SCHMITT :

Ingénieure du son, réalisatrice artistique, musicienne, productrice de podcast avec sa série « EnSacàDos », Bénédicte Schmitt est un peu le couteau suisse du son en France.
Tout a commencé en 1983 en fabriquant une guitare en carton, mais c’était l’électricité qui l’intéressait. Le son, comment ça marche ? Bénédicte le découvre en s’amusant à enregistrer sur une K7, puis elle découpe des bouts de bande. Le son devient l’outil pour exprimer son imaginaire.

Suivent des études totalement atypiques, un bac A1, un passage éclair en histoire de l’art, une mise à niveau BEP d’électrotechnique et un BTS de Régie Son. Les premières expériences professionnelles se succèdent : théâtres, salles de concert, festivals. Une rencontre avec Dominique Blanc-Francard et la voilà embarquée dans la folle aventure des Studios Labomatic, fondés par Dominique et ses fils, Hubert BoomBass et Mathieu Sinclair.

Aujourd’hui, Bénédicte co-pilote avec Dominique, les Labomatic Studios, passion du son partagée, 25 années qui filent, enregistrer, mixer, découvrir, guider, construire, rêver, casser les codes, innover, « être au service de la musique / hors cadre ».

Dans ces caves mythiques du 8ème, Bénédicte a travaillé avec de nombreux artistes : Benjamin Biolay, Françoise Hardy, Stephan Eicher, Carla Bruni, Dick Annegarn, Les Rita Mitsouko, Raphaël, Jane Birkin, Vincent Delerm, Camille, Cassius, Marianne Faithfull, Jean-Louis Aubert, Clara Luciani, Mélissa Laveaux, Tim Dup, Hoshi, Clara Ysé.

Sa marque de fabrique : une production musicale de qualité aux univers variés.

Électron libre de l’industrie, Bénédicte travaille essentiellement aujourd’hui sur des projets indépendants : Aquaserge, Gaspar Claus, Casper Clausen, Lucas Santtana, sans oublier ses jeunes pousses : Yoa, Trente, Ottis Coeur, Grande et Lisa Ducasse.

Travailler avec eux, c’est une transmission de savoir faire et la découverte ludique du studio lors de sessions live. Toujours en quête de nouveaux terrains de jeux, elle réalise des enregistrements nomades avec son StudioSacàDos, un studio mobile de 2 à 64 pistes. Au fil de ses escapades sonores, Bénédicte s’associe avec des actrices et acteurs essentiels de la scène actuelle : La Souterraine, Dans ta Face B, Le Souffle Collectif, Mélissa Phulpin, Vincent Moon et Cherchez la femme.

Les derniers projets hétéroclites de Bénédicte ?

Une émission mensuelle sur Tsugi Radio «Sur la planche à mixer de BénéLabo », une première au cinéma avec le mixage du film de Vincent Delerm « Je ne sais pas si c’est tout le monde », un voyage sonore sur la BO de Kaamelott, l’album Best Of de Keren Ann avec le Quatuor Debussy, des réalisations de podcasts et des compositions musicales pour Louie Média. En parfaite geek, Bénédicte a équipé sa cabine parisienne, celle des Cassius et de l’escalier Beatles, en Dolby Atmos : 11 enceintes et 4 subs, un énorme casque, une immersion au cœur du son. Le son est le guide, ses ondes tracent la route.

 

 

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